Faisant suite à la table ronde sur les transports en Île-de-France, organisée le 30 janvier dernier à l’Assemblée nationale dans le cadre de la Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire, dont Franck MARLIN est membre, votre député avait réiréré sa démarche auprès du Syndicat des Transports d’Île-de-France (STIF) pour que les demandes des usagers et des élus du Sud-Essonne en matière de desserte ferroviaire soient entendues.

Relayée par la Conseillère Régionale Marie-Claude GIRARDEAU auprès de Valérie PÉCRESSE, Présidente du groupe Mouvement Populaire au Conseil régional d’Île-de-France et administratrice du STIF, va donc être défendue lors du Conseil d’administration, qui se tient aujourd’hui, au travers d’un vœu reprenant les arguments de votre député et les besoins exprimés habitants concernés et leurs élus.

RERC C et RED D : non à l'omnibus Huit Communautés d’Agglomération et de Communes de l’Essonne, de toutes tendances politiques et représentant 750.000 habitants, disent Non à l’Omnibus !

En effet, la SNCF, le Syndicat des Transports d’Ile-de-France (STIF) et la Région, veulent imposer la mise en omnibus de tous les RER C et D en petite couronne, sans mettre en circulation le moindre train supplémentaire.

Si ce projet devait aboutir, cela se traduirait concrètement pour les usagers de grande couronne par un allongement du temps passé dans le RER de 15 minutes par jour et par un remplissage inouï de rames déjà saturées.

Exaspérés, les présidents de 8 Communautés d’Agglomération et Communautés de Communes de l’Essonne et Franck Marlin unissent leurs efforts pour dissuader la Région Ile-de-France et le STIF de commettre l’irréparable et ils ont appellé les usagers à se mobiliser lors d'une conférence de presse qui s'est déroulée ce lundi 4 février !

Franck MARLIN, alerté par des représentants des cheminots, avait manifesté dès le mois de novembre dernier son opposition résolue à toute perspective de dégradation de la qualité de services au sein des gares du Sud Essonne.

Or, force est de constater que les vives inquiétudes suscitées par les conditions de création d’Équipes Mobiles de Lignes, n’ont malheureusement pas été pleinement entendues.

Ainsi, la SNCF compte bien procéder, à partir du premier trimestre 2013, à la fermeture des guichets durant tout le week-end à Saint Martin d’Étampes et à Angerville.

Depuis plusieurs semaines, usagers et élus locaux se mobilisent pour obtenir de la part du STIF (Syndicat des Transports Ile-de France) à la fois le respect de ses engagements concernant la mise en place de trois dessertes TER (à 16h23, 18h23 au départ de Paris et le soir d’Angerville vers Paris) et des garanties sur la continuité du service de lignes de bus aujourd’hui assuré par la SNCF entre la gare d’Etampes et celle d’Angerville.

En effet, le STIF doit prendre le relais au 1er janvier 2013 et aucune information n’avait encore été délivrée aux usagers suscitant inquiétudes et interrogations.

« Alors que les Communes peinent à boucler leur budget 2013 et que celles-ci sont toujours plus touchées par les politiques départementales : réforme des contrats territoriaux, participation au financement de la voirie départementale, réduction des aides aux crèches… La Majorité départementale continue de céder aux sirènes des dépenses d’apparat au nom de l’exception culturelle départementale. »

C’est en substance l’amer constat formulé par les élus de l’opposition, au Conseil général de l’Essonne, à l’issue de la séance publique du 19 novembre.

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