Alerté par les parents d’élèves de l’école Jean de la Fontaine, à Milly-la-Forêt, votre député était intervenu le 7 septembre dernier auprès de la Direction des services de l’Education nationale de l’Essonne afin qu’une sixième classe puisse être ouverte, compte tenu des effectifs. Une démarche réitérée quelques jours plus tard au travers d’un nouveau courrier dans lequel il avait également appelé l’attention du Directeur d’Académie sur la situation de l’école d’Oncy-sur-Ecole. Car, dans les deux cas, les seuils permettant des ouvertures de classes sont atteints et, pourtant, ces demandes ont été refusées.

Des événements dramatiques déplorés durant l’été, notamment à Marseille, ont mis en évidence des trafics d’armes important sur l’ensemble territoire national.

Aujourd’hui, à Étampes, les gendarmes ont mis la main sur des armes et des explosifs, dans une cave, ce qui a nécessité l’intervention de démineurs et l’évacuation de riverains et de commerçants.

Sans s’immiscer dans l’enquête qui va être menée par les forces de police et de gendarmerie, Franck MARLIN s’inquiète néanmoins de cette banalisation des armes de guerre en France et a alerté le Ministre de l’intérieur.

Ce lundi 27 août, le campement de Roms installé depuis le mois de mai dernier sur la commune d’Évry, a été évacué. Interrogé sur cette opération, le ministre de l'intérieur Manuel Valls a précisé qu'il ne pouvait supporter, comme ministre, mais aussi comme citoyen, ces bidonvilles, ces baraquements.

Partageant ses propos, Franck Marlin a de nouveau soutenu la décision du ministre. Car au-delà des conditions d’hygiène et de salubrité insupportables pour ces familles, la dangerosité de ce campement implanté à proximité des lignes du RER D justifiait à elle seule cette évacuation. Pour ces mêmes raisons, votre député a donc demandé au ministre de démanteler celui situé à Corbeil-Essonnes, Ormoy et Villabé.

Par lettre du 31 juillet 2012, faisant suite à un article paru ce même jour dans le cahier départemental du journal Le Parisien, Franck MARLIN avait alerté le directeur régional Paris Sud Est de la SNCF sur les dysfonctionnements successifs ayant affecté le système de freinage de rames circulant sur la ligne D du RER.

En effet, cet article relatait des défaillances, matérialisées à travers quatre incidents survenus entre le 14 juin et le 2 juillet derniers, notamment en raison de normes de maintenance et d’entretien inadaptées au volume croissant d’exploitation des rames. C’est pourquoi il avait demandé quelles étaient les mesures envisagées pour optimiser la fiabilité du matériel roulant, nécessaire à la sécurisation pérenne des déplacements des usagers et à l’amélioration des conditions de travail des cheminots. Le directeur des lignes D et R, Franck DUBOURDIEU, vient de répondre à votre député.

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