Ce mercredi 12 juin fut sans conteste une grande journée de mobilisation pour préserver l’activité de la société STECO POWER et l’emploi de ses 122 salariés.

Ainsi, le matin, Franck MARLIN, accompagné de Marianne DUBOIS, Député du Loiret, et Philippe VIGIER, Député d’Eure-et-Loire, ont été reçus à leur demande par le cabinet du Ministre du Redressement productif.

L’après-midi, lors des Questions au Gouvernement à l’Assemblée nationale, votre député a interrogé le Ministre Arnaud MONTEBOURG (revoir l'intervention ).

Depuis fin 2011, aux côtés des salariés et des élus concernés, Franck MARLIN appellent l’attention de l’Etat sur le devenir de l’entreprise STECO POWER, située à Outarville (Loiret). Ce mercredi, le tribunal de commerce d'Orléans a statué : la société fermera définitivement ses portes à la fin de ce mois, faute de repreneur, et plus de 120 salariés sont voués à aller rejoindre les rangs des demandeurs d'emploi.

Reste un site, un outil de production, des familles, notamment Sud Essonniennes, et un territoire auxquels l'Etat se doit d'apporter des réponses sur leur avenir.

Le 16 mai dernier, Franck MARLIN était aux côtés de Jean-Vincent PLACÉ, Sénateur de l’Essonne et Président du groupe écologiste du Sénat, et des représentants des associations DEPHY RD 191, Cerny Environnement et du Comité des riverains et usagers de la D 191, Franck Marlin, Député-Maire d’Étampes, pour une réunion au Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie afin d’évoquer le projet d’extension du site d’hydrocarbures de la Société Donges-Metz (S.F.D.M.) à Cerny dans l’Essonne.

Au cours de cet entretien, la dangerosité du site en lui-même ainsi que les effets annexes tels que la saturation de la RD 191 et les risques pour la sécurité routière du transport d’hydrocarbure dans les communes ont été abordés sans ambages.

En octobre dernier, votre député avait de nouveau alerté le Ministre des transports sur les inquiétudes exprimées par les habitants, les associations et les élus concernés par le projet de ligne grande vitesse Paris – Orléans – Clermont-Ferrand – Lyon (LGV POCL). En effet, ces craintes avaient été exprimées au lendemain de la publication par la Région Île-de-France d’une carte, dans le cadre du projet de Schéma directeur régional, sur laquelle figurait un tracé particulièrement précis. À cette occasion, Franck MARLIN avait également soulevé la question du coût de cette nouvelle ligne, estimé à plus de 13 milliards, alors que les chiffres sur lesquels la viabilité du projet repose ont de toute évidence été surévalué.

Le Ministre Frédéric CUVILLIER vient de lui répondre. Une réponse riche d’enseignements.

En février dernier, votre député avait demandé au Ministre des transports et au Directeur général de la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile) qu’une étude soit menée sur le Sud de la région Ile-de-France afin de déterminer l’impact des changements des procédures d’atterrissage sur l’aéroport d’Orly, mises en place en novembre 2011, à l’instar de celle menée pour l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle.

Par ailleurs, Franck MARLIN avait également proposé l’organisation d’une table ronde regroupant les problématiques indissociables d’Orly et de Roissy, à laquelle seraient pleinement associées les associations de défense de l’environnement, les élus et les différents acteurs concernés.

Le Ministre Frédéric CUVILLIER vient d’adresser sa réponse à votre député dans laquelle il a tenu à le remercier « pour [sa] vision globale et [son] implication constructive sur ce sujet ».

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