Avec près de 70 000 véhicules, chaque jour, sur la RN 20 à hauteur d’Angerville et Étampes, les riverains de cet axe routier qui traverse ces deux communes sont confrontés à d’importantes nuisances sonores.

C’est la raison pour laquelle le Maire d'Angerville, Johann MITTELHAUSER, et le Député-Maire d'Etampes, Franck MARLIN, sollicitent depuis plusieurs années l’édification d’un mur antibruit sur les parties urbanisées longeant la RN20.

Une démarche qu’ils viennent conjointement de réitérer auprès du Président du Conseil départemental de l’Essonne, François DUROVRAY.

Au titre de l'année 2016, Franck MARLIN a obtenu plus de 116 000 € dans le cadre de la réserve parlementaire pour aider les communes à concrétiser leurs projets.

Ce sont ainsi 16 dossiers (pour 20 communes) proposés par les collectivités à votre député qui ont bénéficié d'une subvention exceptionnelle.

Comme chaque année, votre député publie la liste des communes, la nature de l'opération et la subvention attribuée.

Faisant suite aux intempéries qui se sont abattues au début du mois de juin, notamment en Essonne, votre député a interrogé le gouvernement sur les mesures de compensation pour les exploitations agricoles de l'Ile-de-France (grandes cultures, maraîchage,...) particulièrement affectées par les précipitations hors normes, jusqu'à trois fois supérieures aux normales saisonnières, qui se sont abattues sur cette région.

Face aux problématiques auxquelles sont confrontées les forces de police, votre député a saisi le Ministre de l'Intérieur par le biais d'une Question écrite qui sera publiée au Journal officiel.

Texte de la question :

M. Franck MARLIN appelle l'attention de M. le Ministre de l’Intérieur sur les vives inquiétudes et le sentiment de colère suscités par les difficultés que rencontrent les forces de police en Île-de-France et notamment dans le département de l’Essonne.

TractLe 14 mars dernier, les élus réunis en Préfecture de l’Essonne avaient tenté de démontrer les difficultés soulevées par le Schéma départemental d’accueil des gens du voyage, non-conforme à la loi du 5 juillet 2000, dite « loi Besson », et de faire entendre l'opposition des habitants et des élus au projet d'implantation d'une telle aire à Chevannes. Mais la réunion avait malheureusement tourné court (voir l’article).

Un constat s’impose, ce schéma, élaboré par la précédente majorité du Conseil départemental de l’Essonne, doit être révisé. 

Une demande en ce sens avait été adressée au nouveau Président du Conseil départemental, sollicité de nouveau le 9 mai dernier. Le Président de l’Union des Maires de l’Essonne a également été saisi par courrier.

Ce site utilise des cookies et autres technologies similaires (réseaux sociaux).

En poursuivant votre navigation, vous acceptez ces cookies. En savoir plus.