Au cours de la journée de manifestation et de défilé du 1er mai, à Paris, plusieurs centaines de casseurs professionnels issus des mouvements d’extrême gauche s’en sont pris, au vu et au su des organisateurs, avec une violence rare aux forces de l’ordre.
Encore une fois, sur le territoire de la République, les policiers se font agresser par des individus qui n’ont qu’un seul objectif : les tuer.
Mes premières pensées vont vers ces six policiers blessés, dont deux grièvement, dans l’exercice de leurs missions.
Les images d’un CRS en feu après le jet d'un cocktail Molotov sont terribles, insupportables.
Une nouvelle fois, la haine portée par ces éléments d’extrême gauche à l’égard de toute autorité républicaine s’exprime dans toute sa barbarie.
Ils sont anticapitalistes, mais ils sont aussi anti-démocratie, antirépublicains. Honte à eux.
Le rôle d’un Etat fort est non seulement d’assurer la protection de tous mais aussi d’apporter des réponses les plus fermes contre ces agitateurs, ces déstabilisateurs de notre société. Ils n’ont aucune excuse.
Des peines exemplaires doivent être prononcées par la Justice à l’encontre de ces barbares.
Il faut éradiquer ce phénomène. On ne peut pas « casser du flic » impunément en France, ni s’en prendre à celles et ceux qui représentent l’autorité républicaine et qui assurent la protection de chaque concitoyen.
On est loin aujourd’hui de l’esprit du 11 janvier 2015.
Qu’en pensent les partis d’extrême gauche et leurs ténors toujours muets en pareille circonstance ?
Moi, depuis toujours, j’ai choisi mon camp. Je suis pour les policiers et l’autorité de l’Etat.