Après les dotations horaires globales en diminution pour les lycées d’Étampes et de Mennecy et le lycée professionnel de Cerny, c’est une nouvelle baisse des moyens qui va frapper nombre d’écoles dans le Sud-Essonne.
Ainsi, Angerville, Boissy-la-Rivière, Boutigny-sur-Essonne, Cerny, Chalou-Moulineux, Courances, La Ferté-Alais, Marolles-en-Hurepoix, Morigny-Champigny, Oncy-sur-Ecole, Ormoy-la-Rivière et Orveau, entre autres, sont sous la menace de fermetures de classes dans leurs écoles.
Votre député a donc demandé à la Ministre de l'Education nationale de maintenir l’intégralité des moyens dans les écoles concernées et que toutes les décisions de fermetures soient reconsidérées.
Après les dotations horaires globales en diminution pour les lycées d’Étampes et de Mennecy et le lycée professionnel de Cerny, c’est une nouvelle baisse des moyens qui va frapper nombre d’écoles dans le Sud-Essonne.
Ainsi, Angerville, Boissy-la-Rivière, Boutigny-sur-Essonne, Cerny, Chalou-Moulineux, Courances, La Ferté-Alais, Marolles-en-Hurepoix, Morigny-Champigny, Oncy-sur-Ecole, Ormoy-la-Rivière et Orveau, entre autres, sont sous la menace de fermetures de classes dans leurs écoles.
« Autant de fermetures définitives ou différées dans le Sud-Essonne, c’est du jamais vu ! » réagit Franck MARLIN. « Alors que l’Education nationale est redevenue cette année le premier budget de l’Etat et que le Gouvernement ne cesse de vanter son plan de recrutement de 60 000 enseignants, sachant que plus de 8000 postes auront été créés entre 2013 et 2015 uniquement dans le premier degré, nous sommes en droit de nous interroger : où sont passés les moyens humains et financiers ? On donne plus à l’Education nationale pour avoir moins. Ce n’est pas acceptable !
« L’Education nationale annonce avoir fait le choix de ne pas saupoudrer ces postes nouveaux, mais de les cibler sur des territoires et des dispositifs prioritaires. Un constat s’impose : les secteurs ruraux de l’Essonne ne font pas partie des priorités ! La campagne est pillée de ses enseignants !
« Fermer des classes, et parfois même des écoles, c’est une décision extrêmement grave qui impacte la vie et l’équilibre d’un village. C’est, encore une fois, déstabiliser la vie des familles. C’est détériorer les conditions de travail des équipes pédagogiques. C’est aussi parfois obliger les communes à mettre en place des transports scolaires spécifiques, avec des accompagnateurs,… Tout cela a un coût. Comment pourrait-il être supporté par les villages et leurs habitants, alors que les dotations d’Etat ont été drastiquement revues à la baisse pour les communes et que les contribuables sont asphyxiés par les hausses des impôts et des taxes décidées par le Gouvernement ?
« Lorsque l’on parle d’Education nationale, cela signifie qu’il n’y a pas les écoles des villes et les écoles des champs ! Tous les enfants ont droit à un service public d’éducation égal, en qualité et en accès, en tout lieu du territoire national ! »
Votre député, qui a récemment interrogé la Ministre sur la disparition de l’apprentissage des langues anciennes dans les collèges alors que les ELCO (enseignement des langues et cultures d’origine) sont préservés, lui a donc demandé, par le biais d’une Question écrite, de maintenir l’intégralité des moyens dans les écoles concernées et que toutes les décisions de fermetures soient reconsidérées.