Lors des Questions au gouvernement, ce mercredi 24 janvier, à l'Assemblée nationale, Franck MARLIN a interrogé le Ministre de l'agriculture.

Le gouvernement veut-il encore des agriculteurs français ? Votre député a demandé au Ministre quelles mesures le Gouvernement entend enfin mettre en œuvre pour sauver notre agriculture confrontée, notamment, à des distorsions de concurrence insupportables.

Retrouvez l'intégralité de sa question dans la suite de l'article.

 

Alors que le Premier ministre a officialisé la volonté du gouvernement d’abaisser dès le 1er juillet prochain, de 90 à 80 km/h, la limitation maximale sur les routes nationales et départementales à double sens, sans séparateur central (terre-plein, barrière), le député Franck Marlin a immédiatement dénoncé une politique de sécurité routière uniquement vue « par seul prisme de la vitesse ». Une erreur grave selon le député.

« C’est à se demander si tout cela n’était pas prémédité… » réagit Franck Marlin. « Il a quelques mois, le gouvernement annonçait la privatisation des radars embarqués qui, on le sait, sera surtout extrêmement rémunérateur. Et désormais, ils décident d’abaisser la limitation de vitesse. Hier, le rendement en termes de nombre de flash inquiétait. Aujourd’hui, c’est plus qu’une certitude. Il y a une volonté d’acharnement contre les conducteurs qui n’est plus acceptable. La question de la vitesse sur les routes est l’unique mot d'ordre de la politique de sécurité routière entamée par ce gouvernement, comme les précédents mais en pire. 

Franck MARLIN s’est réjouit de l’initiative de parlementaires de l’Essonne visant à déposer, à la fois à l’Assemblée nationale et au Sénat, une proposition de loi pour sanctionner les rodéos motorisés extrêmement dangereux. Une proposition que votre député avait lui-même déjà co-déposée en 2015 et en 2017.

Encore une fois, au travers de son projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018, force est de constater que le gouvernement a une vision comptable de la santé publique, et surtout des hôpitaux publics de proximité.

Non à cette vision, oui à la qualité des soins et à la prise en considération des professionnels de santé qui y exercent, en les rémunérant mieux, en développant l'attractivité de leur métier et en leur permettant une meilleure prise en charge des patients.

Non à une médecine à deux vitesses, qui se profile, réservée aux personnes les plus aisées.

L'hôpital public a une vocation sociale !

 

Lundi 16 octobre, plus de 200 élus de toutes tendances politiques et de très nombreux acteurs associatifs se sont réunis à Grigny pour dénoncer  les coupes budgétaires « dramatiques » décidées par le Gouvernement sur la politique de la ville et exiger un plan d’urgence pour les quartiers les plus sensibles. Franck Marlin, qui avait  été le premier élu à lancer, dès le 14 août, une pétition en ligne (1) auprès des Maires de France contre la suppression unilatérale de 300 millions d’euros de dotations aux collectivités, invite tous les élus, au-delà de l’appel de Grigny, à étendre le mouvement aux territoires périurbains.

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