Actualité nationale

La vente du muguet pour le 1^er mai représente un chiffre d’affaires conséquent pour l’ensemble des fleuristes. La vente du muguet aurait permis aux fleuristes, cette année, d’assurer un minimum de chiffre d’affaires afin de financer une partie de leurs charges fixes, ce qui, en cette période aussi critique, est loin d’être négligeable.

C'est pourquoi, Isabelle Valentin, Députée de la Haute-Loire, et Franck Marlin, ont écrit le 25 avril dernier, au Premier Ministre pour que les mesures de confinement soient assouplies pour les commerçants-fleuristes et qu'ils puissent, l’espace d’une journée, ouvrir leur boutique et travailler.

Aucune réponse n'a été apportée. Ni lors de la déclaration du Premier Ministre à l'Assemblée hier, ni par courrier.

Pour lire le courrier, cliquez ici.

Le secteur du tourisme est dans une situation catastrophique. Les Français sont déjà exhortés à envisager des congés estivaux en France, pour des raisons sanitaires, mais aussi, sinon surtout, par patriotisme.

Mais il n'y a pas de raison que seuls les citoyens soient invités à faire preuve de patriotisme. Les sociétés de gestion des autoroutes qui ont engrangé de confortables bénéfices grâce aux concessions dont elles sont titulaires doivent aussi marquer leur soutien.

C'est la raison pour laquelle Franck Marlin a cosigné avec son collègue Guillaume Peltier une proposition de résolution visant à contraindre les sociétés d'autoroutes à diviser par deux les tarifs des péages du 1er juillet au 30 septembre 2020 pour favoriser le patriotisme touristique.

Pour consulter la proposition de résolution, cliquez ici.

La filière horticole se trouve dans une situation critique liée à l’épidémie de COVID-19.

Le réseau de distributeurs physiques de la filière a été fermé. La commande publique est à l’arrêt. La filière horticole a vu son chiffre d’affaires réduit à néant.

Une évaluation effectuée auprès de 60 producteurs franciliens met en évidence une perte de 15 M€. En plus de ces difficultés, le caractère essentiellement saisonnier de la production de la filière met gravement en péril sa capacité à rebondir en sortie de crise sanitaire.

Aujourd'hui, nombre d’acteurs de la filière sont dans l’impossibilité de replanter, faute de ressources.

Il est plus que temps que l’Etat mette en œuvre des mesures sectorielles et un véritable plan de sauvegarde de l’horticulture française.

C’est tout le sens de la Question Ecrite que Franck Marlin a adressée au Ministre de l’agriculture et de l’alimentation.

Pour consulter la Question Ecrite de Franck Marlin, cliquez ici.