Votre député intervient pour défendre les usagers en colère

Les difficultés rencontrées par les habitants du sud l’Essonne et du nord Loiret qui utilisent le TER pour se rendre sur leur lieu de travail sont de plus en plus grandes. Et les inquiétudes se font fortes face à un mouvement de grève qui s’est reproduit les vendredis, depuis le 24 décembre. Un sentiment d’exaspération que partage le député-maire d’Étampes qui, depuis plusieurs années, demande que des solutions soient apportées.

Votre député intervient pour défendre les usagers en colère

Les difficultés rencontrées par les habitants du sud l’Essonne et du nord Loiret qui utilisent le TER pour se rendre sur leur lieu de travail sont de plus en plus grandes. Et les inquiétudes se font fortes face à un mouvement de grève qui s’est reproduit les vendredis, depuis le 24 décembre. Un sentiment d’exaspération que partage le député-maire d’Étampes qui, depuis plusieurs années, demande que des solutions soient apportées.

« Les dysfonctionnement sur cette ligne sont de plus en plus importants, pour ne pas dire quotidiens » explique Franck MARLIN. « Et à cette situation déjà difficile pour ces usagers, s’ajoute un mouvement de grève hebdomadaire qui, selon certaines informations, serait reconductible jusqu’en juin prochain. Or, à ce jour, aucune confirmation ne leur a été donnée sur cette reconduction ou s’il s’agissait de mouvements organisés uniquement les jours des réveillons des 24 et 31 décembre. »

Face à cela, votre député a donc interpellé le Président de la SNCF, Guillaume PÉPY, ainsi que le Secrétaire d’État chargé des transports, Thierry MARIANI.

« Les retards que subissent les usagers leur portent gravement préjudice, certains pouvant craindre pour leur emploi. Par ailleurs, même au retour, les trains sont bondés, ce qui les oblige à prendre le dernier direct de Paris, à 19h07, pour rentrer chez eux. Outre ces retards, et sachant qu’ils prennent l’unique TER pour Paris à 7h05, cela leur fait vraiment de longues journées ! »

Franck MARLIN a donc demandé au Président de la SNCF et au Ministre si le mouvement de grève hebdomadaire sera ou non reconduit jusqu’en juin, et quelles mesures seront prises devant une telle situation qui suscite une colère grandissante.

« Les jours de grève, comme lors de la réforme des retraites, ces usagers ont été privés de TER, alors que, étonnamment, il y en avait avant la mise en place du service minimum. Les autres jours, ce sont des retards et des conditions de transports pénibles, surtout pour se rendre à Paris compte tenu du fait qu’il n’y a qu’un seul arrêt le matin alors que le nombre d’usagers est chaque année plus important. Cela fait beaucoup et cela mérite une réponse à la hauteur de la situation ! »

C’est aussi la raison pour laquelle il a de nouveau saisi le Président de la Région Centre puisque cette collectivité, chargée de l’organisation de cette ligne avec le Syndicat des Transport Île-de-France, s’était engagée à organiser une réunion spécifique, notamment sur la création d’un arrêt supplémentaire le matin en gare d’Angerville, avant la fin de l’année 2010.

« Plus de 2000 Essoniens se sont mobilisés à ce jour, par l’intermédiaire d’une pétition, pour demander une telle desserte. Cela mérite là aussi une réponse digne de ce nom ! » conclut-il.


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