La mobilité est un élément essentiel pour la qualité de vie des habitants. Sensible à cette question, Franck MARLIN estime nécessaire de réinventer le transport en zone rurale.
Les transports publics ne peuvent plus se contenter que de lignes de bus de 50 places, parfois vides à certaines heures. La mobilité de demain doit permettre de desservir, lorsque c’est nécessaire, des communes qui ne le sont pas aujourd'hui. Il faut construire une offre de transport qui réponde aux besoins de régularité là où c’est nécessaire et aux besoins exceptionnels des habitants.
Flexibilité et régularité sont donc des objectifs qu’il faut lier et qui dépassent très sensiblement la tentative de mise en place d’un transport à la demande, par le passé. Il faut créer une sorte de transport à la carte qui repose sur les attentes identifiées des potentiels usagers.
À l’occasion de la visite de Valérie PECRESSE en Sud Essonne, fin août dernier, Franck MARLIN a échangé sur ce thème avec la Présidente de la Région Île-de-France et d’Île-de-France Mobilités.
Très intéressée par cette nouvelle vision locale, Valérie PECRESSE s’était engagée auprès de Franck MARLIN à dépêcher un collaborateur d’Île-de-France Mobilités pour étudier plus concrètement les perspectives en Sud Essonne.
C’est ainsi que s’est tenue, le 1er octobre, une réunion à la permanence parlementaire du Député, sur ce projet. Etaient présents Laurent HESSE, Président de « Transport Sud Essonne (TSE) », syndicat intercommunal compétent pour ces questions, Marie-Claude GIRARDEAU, 1ère Adjointe au Maire d’Étampes empêché, deux collaborateurs d’Île-de-France Mobilités et Franck MARLIN.
A l’issue de cette rencontre, il a été décidé qu’Île-de-France Mobilités, en qualité d’organisateur de tous les transports publics de la région, lancera une étude pour la création d’un dispositif de transport complémentaire aux lignes actuelles existantes. Île-de-France Mobilités va naturellement saisir le syndicat intercommunal TSE pour être le relais local de ce projet.
Une phase d’enquête auprès des habitants sera notamment nécessaire. Île-de-France Mobilités va associer étroitement ses partenaires locaux pour construire cette enquête dont on peut espérer qu’elle soit lancée d’ici la fin de l’année.