La suppression de centres d’intervention et de secours décidée dans le cadre du Schéma Départemental d’Analyse et de Couverture des Risques (SDACR) révisé, qui sous couvert de modernisation impose une rationalisation des moyens, inquiète à juste titre les maires qui craignent ne plus voir assurée une couverture des risques de sécurité civile adaptée aux besoins de leur territoire et déséquilibrée au profit du Nord Essonne. Sollicité par des élus locaux, votre député est intervenu auprès du Président du Conseil d’Administration du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) pour lui faire part de son opposition à ces perspectives inadaptées au contexte actuel et qui portent atteinte au volontariat.
La suppression de centres d’intervention et de secours décidée dans le cadre du Schéma Départemental d’Analyse et de Couverture des Risques (SDACR) révisé, qui sous couvert de modernisation impose une rationalisation des moyens, inquiète à juste titre les maires qui craignent ne plus voir assurée une couverture des risques de sécurité civile adaptée aux besoins de leur territoire et déséquilibrée au profit du Nord Essonne.
Sollicité par plusieurs élus locaux, Franck MARLIN a aussitôt saisi Etienne CHAUFOUR, Président du Conseil d’Administration du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS), pour lui faire part de son opposition à ces perspectives inadaptées au contexte actuel et qui portent atteinte au volontariat, fondement de l’engagement civique des sapeurs pompiers.
« Je suis contre toute remise en cause du niveau de protection des populations. Les solutions proposées sont simplement inacceptables et inenvisageables au regard de la Sécurité qu’un élu responsable se doit de garantir à ses administrés. Je regrette d’autant plus cette démarche qu’elle compromet également l’engagement et le recrutement des sapeurs pompiers volontaires dont on connaît le dévouement et l’implication. Cette proximité qui est le socle du lien entre les habitants et leurs soldats de feu va être remise en question. Cela risque de s’avérer dommageable. Nous devons préserver ce lien social » précise votre député.
Particulièrement touché par cette restructuration, encore une fois, le Sud-Essonne ! dont l’exemple le plus édifiant concerne la commune de Mondeville.
« Mon collègue Jean-Pierre DELHOTAL, Maire de Mondeville, voit après modification du POS, cession du terrain nécessaire, engagement de dépenses... le projet d’agrandissement de son Centre d’Incendie, voté au Conseil d’Administration du SDIS, abandonné purement et simplement et de manière tout à fait unilatérale et arbitraire. Ce n’est pas une façon de faire ni de considérer les élus locaux» s’insurge Franck MARLIN qui dénonce à travers ce procédé et la remise en cause des projets d’investissement le manque de concertation et d’information.