A l’approche du salon de l’agriculture, l’association France Nature Environnement a lancé une campagne publicitaire dans le métro parisien. Une campagne « contre l’agriculture » que Franck MARLIN a vivement dénoncée.
« Par ces attaques infondées contre le monde agricole, cette campagne publicitaire est, en tous points, profondément choquante et totalement scandaleuse » explique votre député.
« Le stéréotype "agriculteur = pollueur", ça suffit ! Il est insupportable de dénigrer ainsi celles et ceux qui, au quotidien, ont à cœur de protéger l’environnement et de concilier cette priorité leur activité tout en faisant face à une concurrence étrangère qui, elle, ne respecte pas les mêmes critères environnementaux.
« Cet intégrisme du "tout vert" jette le discrédit sur les efforts menés par le monde agricole tant dans le domaine de la diversification, comme le développement de l’agriculture biologique, que dans ceux des énergies vertes ou de la formation.
« L’agriculture nourrit. Tout doit être mis en œuvre pour la protéger. Et les événements qui se déroulent non loin de la France devraient, au contraire, inviter ceux qui lancent de telles accusations à plus de prudence et de réflexion. »
« Il nécessaire de dénoncer cette campagne contre laquelle je m’insurge et qui mériterait d’être interdite en totalité. D’ailleurs, nous pourrions aussi nous interroger sur les moyens avec lesquels elle a été financée...
« Et c’est pourquoi j’ai tenu à apporter mon soutien au Ministre de l’Agriculture, Bruno LE MAIRE, à l’issue des questions au gouvernement, hier, au cours desquelles il a clairement pris position contre les moyens utilisés par cette association. »
Les verts et la gauche ont calomnié le monde agricole.
Il va falloir que les candidats de ces partis s’expliquent !
« Ce qui m’a également profondément choqué, c’est l’extrême véhémence de certains députés, verts et de la gauche, qui ont apporté leur soutien cette campagne et qui ont publiquement calomnié le monde agricole. C’est inadmissible !
« Et à l’approche d’échéances électorales, je m’interroge sur les objectifs des candidats de ces mêmes partis, notamment dans les cantons ruraux. Il va falloir qu’ils s’expliquent ! »