Actualité locale

L'agriculture, comme beaucoup d'autres secteurs de notre économie, prend de plein fouet la crise liée au COVID-19. Pour autant, les difficultés sont très différentes d'une filière agricole à l'autre. 

Les horticulteurs qui n'ont aujourd'hui quasiment aucun point de vente autorisé pour écouler leur production extrêmement saisonnière n'ont pas les mêmes problèmes que les céréaliers, les éleveurs ou les maraîchers.

C'est la raison pour laquelle Franck Marlin a proposé aux organisations représentatives de la profession d'engager un travail afin de porter auprès du Ministre de l'agriculture un diagnostic de la situation en Sud Essonne et une évaluation des besoins et attentes des différentes filières agricoles du territoire.

A l'occasion d'un point, ce matin, dans la ferme de Frédéric Arnoult, à Bouville, en présence de Franck Marlin et de Gérard HEBERT, Conseiller Régional d'Île-de-France, le premier constat est que la mobilisation de tous sera sans doute nécessaire pour faire entendre que la réflexion et les solutions doivent se construire filière par filière et non de manière globale pour tous les secteurs agricoles comme semble vouloir le faire le ministre. 

Pour lire les courriers de Franck Marlin, cliquez ici.

Notre département compte encore des zones blanches pour l’accès à Internet, en zone rurale, mais pas uniquement.

Dans ces zones blanches où l’accès à Internet est aujourd'hui quasi impossible, la période de confinement est plus complexe à gérer qu’ailleurs et met en exergue la fracture numérique qui subsiste en Essonne.

Au-delà de l’occupation de loisir, l’absence d’Internet empêche les élèves de rester en lien pédagogique avec leurs professeurs. Elle interdit au producteur maraîcher de développer de la vente en ligne, etc.

Dans ces zones blanches, la question de la date à laquelle l’accès à Internet Très Haut Débit sera possible est donc sensible.

Mais plus encore, il s'agit d'être certain qu'il n'y aura plus aucune zone blanche en Essonne.

Franck Marlin a donc interrogé François Durovray, Président du Conseil Départemental, à travers un courrier que vous pouvez lire en cliquant ici.

Comme dans la majorité des hôpitaux, dès les prémices de la crise sanitaire, l’hôpital d’Étampes a pris des mesures exceptionnelles pour organiser un pôle de réanimation dédié aux malades atteints du COVID-19 d’une capacité de 15 lits. Il a été anticipé la mobilisation de 5 lits supplémentaires.

L’hôpital d’Étampes est agréé COVID - COVID PLUS et les personnels, bien présents à leurs postes, luttent quotidiennement avec courage contre le virus. Les problématiques de locaux et de circulation ont été gérées sur le site et les matériels médicaux indispensables ont été commandés en urgence pour les 5 lits supplémentaires de réanimation, chez des fournisseurs allemands. L’Allemagne compte en effet les entreprises parmi les plus performantes pour ces matériels médicaux de pointe, notamment les respirateurs.

Tout a donc été organisé pour faire face le mieux possible à cette terrible épidémie. Tout, excepté le fait que les matériels commandés resteraient bloqués en Allemagne. 

Aussi, Franck Marlin a saisi le 25 mars dernier le Ministre de la Santé et  la Secrétaire d'Etat chargée des Affaires européennes afin de leur demander d'intervenir pour débloquer ces commandes.

Pour prendre connaissance des courriers de Franck Marlin et de la réponse de la Secrétaire d'Etat, cliquez ici.