Le 9 avril, Franck Marlin était avec les salariés de Faurecia, filiale du groupe PSA Peugeot Citroën, pour défendre l'emploi et l'activité sièges automobiles en France.
Depuis le début de la matinée et jusque tard dans la nuit, votre député est resté aux côtés des salariés du site de Brières-les-Scellés / Étampes, où se déroulait le Comité central d'entreprise, mais également des délégations venues de la France entière.
"Le plan social préparé par la direction de l'entreprise n'est pas acceptable, nous ne les laissons pas faire !" a-t-il notamment déclaré, soulignant que sans la recherche, secteur particulièrement touché par cette restructuration, l'activité siège automobiles disparaîtra en France à brève échéance.
"Ce plan est le résultat de restructurations successives ratées. Ils vous ont menti, ils nous ont menti", soulignant les engagement pris envers les élus locaux dans le cadre du Pôle de compétitivité Mov'éo.
"Il est possible de sauver Faurecia. Le plan alternatif préparé par les salariés le démontre. Mais les dirigeants de Faurecia le veulent-ils ? Aiment-ils la France d'ailleurs ? Ils doivent suspendre ce plan social sans délai, où s'y voir contraints par PSA qui est l'actionnaire majoritaire, pour proposer un vrai projet industriel dont le coeur sera la recherche et l'innovation".
