Le sport est l’un des besoins essentiels de l’individu. Il a même été identifié comme tel durant la période de confinement.
Le sport peut contribuer au maintien en bonne santé, au bien-être physique, psychologique et social, à l’éducation et au partage. Il permet d’apprendre le respect de soi et des autres, le sens de l’effort et du dépassement de soi.
Mais pour y parvenir, l’Etat doit faire le choix d’une politique publique du sport forte et en articulation avec les autres politiques publiques. Il doit prendre en compte des besoins nombreux et dans selon des aspects multiples : accompagnement des fédérations afin de répondre aux nouvelles demandes dans les pratiques, plan de rattrapage des territoires carencés en équipements, accès au sport pour les publics éloignés, sacralisation de l’éducation physique et sportive et développement du sport du primaire à l’Université, prise en compte de la pratique sportive dans les instruments d’urbanisme et d’aménagement du territoire, développement des sports de nature, consolidation des structures associatives, accompagnement des collectivités territoriales pour la mise en place de politiques sportives territoriales, lutte contre les violences sexuelles, contre le dopage, contre le racisme, l’homophobie et les discriminations en général et contre tous les comportements antisportifs…
Autant de défis qui appellent des réponses nationales ambitieuses. C’est la raison pour laquelle Franck Marlin a décidé de cosigner une proposition de résolution portée la députée Marie-George Buffet qui vise, notamment, à inviter le gouvernement à élaborer avec le Parlement une loi-cadre sur le sport définissant les principes de l’action publique, permettant d’affecter les moyens financiers et humains nécessaires pour augmenter en quantité et en qualité la pratique sportive, en tenant compte et en s’articulant avec les autres politiques publiques.
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